ARK NETWORK reference.ch · populus.ch    
 Home  | Livre d'Or  | Contact
Chez Hermann N'KAYA
J'ai confiance en vous.....

 
 

Hermann au lecteur
 
Cher Internaute, vous qui avez choisi de lire cette rubrique, je sais que nombreux d’entre vous se poseront des questions contradictoires sur ce qui s’y trouve, mais il existe une possibilité d’en discuter avec vous par e-mail, il suffit juste de me laisser votre message ( votre impression, appréciation ou reproche ) concernant le point qui vous a marqué le plus, il suffit de cliquer ici
 

 
L’amour véritable cherche le bonheur du prochain, et non le sien. Je sais bien que si un homme dit aujourd’hui à une femme : << Je t’aime >>, cela veut dire : << Je veux avoir quelque chose ; pas toi, mais quelque chose de toi ; je n’ai pas le temps d’attendre ; je veux l’avoir immédiatement sans délai. Tant pis pour ce qui viendra plus tard, c’est le temps présent qui m’intéresse. J’ai besoin de toi pour satisfaire mes désirs. Tu n’es pour moi qu’un instrument pour atteindre mon but. Vite ! Je veux t’avoir….>>
C’est pour cela qu’aucun garçon ne doit prononcer ce grand mot << Je t’aime >> devant une fille s’il n’a pas l’intention de l’épouser.
 

 
Une fille est inquiète lorsqu’un jeune homme considère son amour comme évident, sans se donner la peine de lui dire qu’il l’aime.
 

 
Une fille est blessée si tu es plus aimable avec quelqu’un d’autre qu’avec elle. Elle pense alors que tu la considère comme un bien que tu ne peux plus perdre et pour lequel tu n’as plus besoin de faire aucun effort.  
 
 
 
 
 
L’amour ne doit pas être possédé comme un objet que l’on met dans sa poche. L’amour doit être gagné toujours à nouveau.
 

 
Qui aime n’est plus seul. La personne aimée est toujours présente. Celui qui aime ne veut plus être le centre d’intérêt de sa propre vie. Il accepte que ce soit quelqu’un plus heureux. Il se donne et se libère. Il est comme une main qui s’ouvre pour recevoir. Celui qui aime a le courage de devenir un homme qui a besoin d’autrui.
 

 
Un Hindou a dit une fois à un Européen : << Vous épousez la fille que vous aimez. Nous, nous aimons la femme nous avons épousée.>>

Ne quittes jamais celui que tu aime pour celui qui te plaît, car celui qui te plaît te quittera pour celui qu’il aime.

 

 
Trente conseils aux femmes mariées

Le mariage, cet acte qui unit d’abord deux personne et ensuite deux famille est régi par un certain nombre de lois. Qu’elles soient rédigées ou non, ces lois ont toujours existé depuis la date de naissance du mariage. Soumission de la femme ou pas, en tout cas les choses étaient établies comme tel. De nos jours, les femmes acceptent de moins en moins de se soumettre à leur époux, surtout lors qu’elles sont comblées par des biens financiers et matériels. La conséquence est que plus rien ne va et nombreuses sont devenues les femmes célibataires.
Je publie aujourd’hui dans mon site un règlement de mariage proposé par Mme Marthe Depurenez dans toute son originalité.
Celle-ci est morte à l’âge de 104 ans et a fait 82 ans sous le toit conjugal et dit ceci : « je sais que les jeunes filles ne seront pas d’accord, mais celle qui mettra en pratique ce règlement, sera la femme la plus heureuse de toutes et fera un bon foyer. 
Article 1er : Le mari a toujours raison.
Article 2 : Le mari est toujours le chef de famille s’il ne travaille plus.
Article 3 : La femme avant de se coucher doit demander la permission au mari, aussi avant de lui tourner le dos au lit.
Article 4 : Si le mari porte la main sur la femme et qu’arrive un visiteur, celle-ci doit faire comme si rien ne s’était passé.
Article 5 : La mari reste toujours chef et dirige les opérations même au lit.
Article 6 : Même si la femme a raison, l’article 1er s’applique.
Article 7 : La femme avant de se coucher doit être sans sa robe de nuit, laissant porte ouverte à toutes les éventualités du mari.
Article 8 : Le mari n’a jamais menti, mais éclaircit.
Article 9 : Quand le mari gronde, la femme reste debout et fixe sans rien dire.
Article 10 : La femme doit toujours attendre le mari avant de prendre toute décision.
Article 11 : Le mari ne rentre jamais en retard , il est en réunion de service.
Article 12 : Le mari ne sort jamais le jour du repos. Il est appelé au conseil de famille.
Article 13 : La femme attend son mari avec des idées personnelles et prend celle du mari quand celui-ci est de retour.
Article 14 : La femme ne se rend au bureau de son mari que pour un cas urgent ou sur invitation de ce dernier.
Article 15 : La femme ne doit jamais faire des dépenses sans consulter son mari même si c’est son propre argent.
Article 16 : La femme ne doit pas beaucoup travailler la journée de peur de se fatiguer rapidement la nuit.
Article 17 : Les disputes doivent toujours se régler à deux dans la maison sans témoin et à l’avantage du mari.
Article 18 : La femme ne doit jamais refuser de manger même si elle est en colère.
Article 19 : La femme n’a pas d’ordre à donner à son mari, mais le reçoit de celui-ci.
Article 20 : La femme doit respecter les ordres du mari à la lettre.
Article 21: La femme doit limiter sa jalousie et ne jamais la manifester en public.
Article 22: La femme ne doit rendre visite à ses parents et à sa belle famille que sur demande du mari et des fois en compagnie de ce dernier.
Article 23: La femme ne peut sortir que sur l’autorisation préalable du mari.
Article 24: Seule la femme peut prendre crédit et avec un carnet pharmacie les médicaments.
Article 25: Si le père ou la mère (belle famille) venait à la maison lance des paroles odieuses, la femme ne peut rien faire et doit attendre la réaction de son mari.
Article 26: La femme ne doit jamais écouter les ont dit.
Article 27: La femme doit toujours se considérer comme élément complètement sans avis et non son égal et l’homme ne peut considérer sa femme comme adversaire.
Article 28: La femme doit recevoir tous les visiteurs de son mari sans exception de sexe et avec grande politesse.
Article 29: La femme n’a pas de rivales mais les amies de son mari.
Article 30: La femme appred à connaître les quatre opérations fondamentales.
Je considère toutefois que les articles 1er , 6, 8 11 et 19 ne signifient pas que la femme doit être comparée à un esclave qui n’a que deux mots devant son maître : oui et non.
 
Hermann N'KAYA. 
 
  
(c) Florent Hermann N'kaya - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 30.08.2004